Pour que le souvenir reste

Que notre histoire demeure à jamais dans nos coeurs !!!

Archive pour la catégorie 'LA GENEALOGIE'


LES ARCHIVES DE NOS ANCETRES EN LIGNE

29 mars, 2009
LA GENEALOGIE | Pas de réponses »

Bonjour,

 

Voilà depuis longtemps, nous les attendions, elles sont enfin là, nos archives à nous, les enfants de Pieds-Noirs, les actes de plus de 100 ans sont en ligne sur le site IREL, cliquer sur le lien suivant, mais attention, si vous ne l’avez pas, vous devrez suivre les indications du site pour installer Java Script sur votre PC afin de visualiser les actes, si vous refusez cette mise à jour, vous n’aurez pas accès aux archives : 

Par contre, vous devrez recopier le lien et le coller dans votre navigateur car le lien direct ne fonctionne pas ici, c’est tout de même bizarre ça !!!

 http://anom.archivesnationales.culture.gouv.fr/caomec2/recherche.php?territoire=ALGERIE

 

 Alors amusez-vous bien, recherchez vos ancêtres et faites grandir votre arbre, attention, bien évidemment toutes les communes de l’Algérie Française n’ont pas été microfilmées, bien dommage pour nous. 

 

 

 

 

LA NATIONALITE FRANCAISE BIS

2 avril, 2008
LA GENEALOGIE | Pas de réponses »

RECHERCHE DE LA NATIONALITE PERDUE

Le Médiateur de la République est très régulièrement saisi par des ressortissants algériens, résidant en Algérie ou en France, qui souhaitent obtenir des certificats de nationalité française. Ils ont eu, à une époque, une carte nationale d’identité française, ou leurs parents en possédaient une ; ils ont un père, ou un grand-père, qui a servi dans l’armée française… Qui est resté français, qui ne l’est plus ?

Adresse du Médiateur de la République :

Monsieur Jean-Paul DELEVOYE

7 rue Saint Florentin

75008 PARIS

Tél. : 01.55.35.24.24
Fax : 01.55.35.24.25

Je vous donne aussi le lien internet qui vous redirige vers le site du Médiateur :

http://www.mediateur-republique.fr/fr-20-citoyen-Contact

L’ordonnance du 21 juillet 1962 a distingué deux catégories de statut :

1 – Les personnes de statut civil de droit commun : en général les familles originaires de métropole ou les personnes naturalisées. Elles ont conservé de plein droit la nationalité française, sans effectuer de démarche particulière ;

2 – Les personnes de statut civil de droit local : en général les familles originaires d’Algérie. Elles ont dû, quant à elles, pour rester françaises, souscrire avant le 23 mars 1967, une déclaration de reconnaissance de la nationalité française. Déclaration prise en compte à la condition que son auteur ait préalablement fixé son domicile en France.

La notion de domicile, ou de résidence en France, se définit ici comme une résidence effective stable et permanente, coïncidant avec le centre des attaches familiales et des occupations professionnelles du requérant.

L’enfant né en France, comme en Algérie, avant le 1er janvier 1963, de parents de statut civil de droit local, a perdu la nationalité française à cette date, si lui même ou son père dont il a, en tant que mineur, suivi la condition, n’a pas souscrit la déclaration de reconnaissance.

Dans ce cas, seule une demande de réintégration par décret peut permettre de retrouver la nationalité, à condition de résider en France, de manière régulière au regard des lois et conventions relatives au séjour des ressortissants algériens en France.

Invoquer le fait d’avoir un ascendant qui a servi dans l’armée française, ou d’avoir soi-même servi dans cette armée avant l’indépendance de l’Algérie, est sans incidence sur la nationalité.

Ces deux textes écrits sur la nationalité proviennent d’informations prises sur le web, seulement trop de personnes se posent des questions sur la nationalité de leurs ancêtres, j’espère que ces informations leur apportera de quoi résoudre leur mystère quant à un éventuel dossier de naturalisation.

LA NATIONALITE FRANCAISE

2 avril, 2008
LA GENEALOGIE | 2 réponses »

LES RECHERCHES ADMINISTRATIVES

POUR LES NATURALISATIONS

Ces informations sont données à titre d’orientation par le CHAN (Centre Historique des Archives Nationales). Elles ne permettent pas de préjuger des décisions qui pourraient être prises en matière de nationalité par les administrations compétentes.

1 – Les français de statut civil de droit commun domiciliés en Algérie à la date de l’indépendance, ont conservé la nationalité française quelle que soit leur situation au regard de la nationalité algérienne (ordonnance du 21 juillet 1962, article 1).

2 – Les algériens de statut civil de droit local l’ont perdu. Pour se voir reconnaitre la nationalité française, il faut donc prouver que son ascendant (ou soi-même) avait le statut civil de droit commun à la date de l’indépendance.

Celui-ci résultait d’un décret jusqu’en 1962 :

- Un décret depuis 1830 et plus encore depuis le sénatus-consulte du 14 juillet 1865.

- Ou d’une déclaration d’un tribunal de première instance depuis la loi du 4 février 1919.

*

Les archives des tribunaux de première instance d’Algérie sont restées en Algérie. Il est donc inutile de les rechercher au CHAN ou au CAOM (Centre des Archives d’Outre-Mer).

Par contre, le CHAN conserve les dossiers d’admission aux droits de citoyen français par décrets, depuis 1830 jusqu’à 1930 inclus. Les dossiers de la période 1931 à 1962 sont conservés au CAC (Centre des Archives Contemporaines à Fontainebleau).

1 – Vous ne connaissez pas la date du décret d’admission aux droits de citoyen français : la recherche est à effectuer par vous même, en dépouillant :

- les tables décennales de la partie supplémentaire du Bulletin des lois, pour la période 1865-1918.

- la liste alphabétique des personnes ayant acquis la nationalité française par décret pour la période 1900-1962.

*

Les décrets d’admission aux droits de citoyen français ont été publiés au bulletin officiel du Gouvernement général de l’Algérie (devenu Journal Officiel de l’Algérie en 1927, cette publication est consultable en Algérie).

N.B. Les tables décennales et la liste alphabétique du Bulletin des lois sont consultables en principe dans les services d’archives départementaux.

Adresse :
Centre Historique des Archives Nationales : (CHAN)
60 rue des Francs-Bourgeois
75003 PARIS

Bureau ouvert les lundi et jeudi après-midi de 14 heures à 17 heures.

Si vous ne trouvez pas de décret d’admission aux droits de citoyen français de votre ancêtre, il est inutile de poursuivre la recherche.

2 – Vous connaissez la date du décrert d’admission aux droits de citoyen français de votre ancêtre :

- Il faut dans un premier temps, établir la filiation à l’égard de l’ancêtre en question avec des pièces d’état civil probantes.

Si tel est le cas, vous devez vous adresser à l’adresse suivante :

SOUS DIRECTION DES NATURALISATIONS

93 bis rue de la commune de 1871

44404 REZE Cedex – France

Et lui demander une attestation de naturalisation de votre ascendant. Seul ce service peut établir cette attestation qui tient lieu de décret de naturalisation. (le numéro de décret n’apparait jamais dans le dossier de naturalisation).

ATTENTION : il n’est pas délivré de pièces de dossiers de naturalisation pour la constitution d’un dossier administratif ; les photocopies n’ont pas de valeur de preuve ! Le CHAN n’est pas qualifié pour délivrer des actes d’état civil d’une personne née en Algérie, c’est en Algérie que sont restés les registres originaux.

3 – Algériens entre 1962 et 1966 :

Les Français-Musulmans de statut civil de droit local domiciliés en France à l’époque de l’indépendance ont dû souscrire une déclaration récognitive pour conserver la nationalité française (délais jusqu’en 1966).

Il faut s’adresser également à :

SOUS DIRECTION DES NATURALISATIONS

93 bis rue de la commune de 1871

44404 REZE Cedex

OBSERVATIONS :

Le service militaire n’est pas une preuve de l’acquisition du statut civil de droit commun. Le décret du 21 avril 1866 ouvrait l’armée française et certaines fonctions et emplois civils à ceux qui avaient gardé le statut civil de droit local.

L’ordonnance du 7 mars 1944 déclarait citoyens français à titre personnel, les Français-Musulmans de sexe masculin, âgés de 21 ans et plus, et appartenant à certaines catégories socio-professionnelles, comme anciens officiers, diplômés, fonctionnaires, personnalités diverses, membres de la Légion d’Honneur. Mais cette ordonnance ne conférait pas le statut civil de droit commun et ne pouvait donc pas permettre de conserver la nationalité française après l’indépendance de l’Algérie.

La loi du 17 mai 1976 reconnaissait la citoyenneté française à tous les ressortissants d’Algérie. Mais ceux qui n’étaient pas régis par le statut civil de droit commun gardaient leur statut personnel.

LA RENCONTRE FAMILIALE

31 août, 2007
LA GENEALOGIE | Pas de réponses »

Bonjour,

Cet été, nous avions projeté d’effectuer, comme à notre habitude un voyage itinérant à vélo, visitant ainsi les différents villages de France.

Notre séjour débutait à Abzac, près de Libourne et s’est terminé à Saint Emilion. Il fallait bien joindre l’utile à l’agréable !!!

C’était l’occasion pour moi, de revoir après 23 ans, ma cousine Michelle avec qui j’entretiens une relation toute particulière, puisqu’elle possédait des photos de nos ancêtres et surtout, un trésor inestimable, elle avait les livrets de famille de nos grands-parents et arrières grands-parents, ainsi qu’un livret militaire concernant un certain Joseph Martinez, pour lequel, j’ai découvert cette année qu’il était le demi-frère de mon grand-père paternel.

J’ai donc rencontré Michelle, Jean-Claude son mari, et leur fille Julie. Julie, tu es une grande fille adorable et je te souhaite de profiter de tes parents et de tes grands-parents encore pendant très longtemps, n’oublie jamais que je t’aime aussi très fort. Michelle et Jean-Claude, je ne sais quoi dire : j’étais tellement heureuse de vous revoir, que les larmes versées après votre départ, étaient des larmes de tristesse et de joie, de tristesse car notre rencontre fût courte (une après-midi) et par dessous tout, un temps qui n’était pas de la partie mais qu’importe, nous avons pu discuter de tout et de rien, tu m’as apporté ces fameuses photos de nos ancêtres, garde les précieusement, elles sont la trace de notre passé, de notre vie sur cette Terre, du combat qu’on menait nos ancêtres pour nous donner la vie actuelle que nous menons, elles ont une valeur sentimentale que seule la famille peut connaitre !

J’ai été très heureuse de vous revoir tous les deux, de connaitre enfin Julie, votre trésor, et j’espère de tout coeur vous revoir un jour prochain.

Après avoir longé le littoral atlantique, nous repartons dans les terres landaises, toujours en empruntant les pistes cyclables.

Dernière étape, arrivée à Saint Emilion. Nous devons rencontrer un cousin que je ne connais pas du tout. Cousin que j’ai trouvé grâce à la généalogie. Il est en fait le fils d’un cousin à mon père perdu de vue depuis 1962, depuis cette indépendance, qui a fait que la plupart des familles Pieds-Noirs ont éclaté. J’ai donc rencontré Norbert et sa compagne Evelyne, avec Titus leur chien. Nous avons visité Saint Emilion et là aussi, nous avons parlé de tout et de rien, cela faisait bizarre de se voir, alors que jusqu’à présent, nous discutions par mail ou par téléphone. Mais une chose est sûre, et comme je l’ai dit à Norbert, il a bien le faciès des Martinez, il ne peut pas renier son nom. Non seulement, il a le faciès mais également les mêmes expressions ; j’avais d’ailleurs constaté en rencontrant son frère Philippe en février dernier, chez mes parents, à Toulon, qu’il y avait beaucoup de points communs entre deux familles totalement inconnues et pourtant dont les liens familiaux nous unissent, comme quoi, même si les actes de la Vie font que nous avons dû partir chacun de notre côté, si on cherche, on se trouve !!

Notre rencontre fût également brève car Norbert et Evelyne devaient retourner à Lagord et nous, nous repartions pour Lyon le lendemain. Peut être un jour prochain, l’occasion de nous revoir se représentera. Quoi qu’il en soit, le contact est là, bien présent. Et malgré le fait que nous ne nous connaissions pas du tout, nous avons malgré tout tissé un lien familial comme si celui-ci avait toujours existé !!!

La vie est ainsi faite !!!

Ainsi, se terminent nos vacances !

UN ESPOIR

31 janvier, 2007
LA GENEALOGIE | 1 réponse »

Bonsoir,

je n’ai pas grand chose à dire, mes recherches m’orientent vers ces trois lignes que j’ai trouvé sur le site : www.elanillo.com. Ces trois personnes correspondent à ma famille paternelle et maternelle.

Fuentes – Alicante – Albatera – 1863 – Joaquin Vicente Andreu Gomez – conei@lycos.com

http://www.queridopadre.com

Martínez – Alicante – Albatera – 1844 – Joaquin Vicente Andreu Gomez – conei@lycos.com

http://www.queridopadre.com

Apellido Provincia Pueblo Fecha Enviado por E-mail Pagina Web
Mateo Alicante Benferri 1880 Ana Mateo InglÚs ammisas@hotmail.com

Alors voilà les nouvelles, j’ai envoyé des mails aux adresses, sans aucune réponse à ce jour. Pourtant, je suis sûre que nous avons un lien de parenté. Ce site Elanillo est également un site de généalogie mais en Espagne et pourtant mes ancêtres, les premiers se situent en Espagne à Albatera, Benferri et Murcia.

En espérant que mes parents en allant en Espagne prochainement vont avoir autant de chance et trouver un peu plus sur leurs ascendants, sans le vouloir je les ai entraîné avec moi dans cette passion qu’est la généalogie.

Valérie

GENEALOGIE

5 janvier, 2007
LA GENEALOGIE | 1 réponse »

AH GENEALOGIE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!

Que faut-il faire pour trouver nos ancêtres ? Je crois que la persévérance est un atout majeur dans mes recherches, mais ce n’est pas tout, sans l’aide de ma famille proche et lointaine, ceux que l’on découvre au fil des ans, tous ont leur importance qu’ils soient vivants ou décédés, ils nous apprennent beaucoup de leur entourage.

Je ne cesse d’aller de découverte en découverte et plus les recherches avancent, plus je voudrais que cela soit rapide, c’est une véritable drogue, aller sur le site pour écrire son article, poursuivre son arbre généalogique, visiter les différents sites susceptibles de nous aider dans nos démarches, tout est question de déduction bien souvent, et l’aide apportée dans les différents forums ne fait qu’accroître nos espérances.

J’étais loin de me douter que je pouvais écrire en Algérie pour demander des actes de naissance, mariage ou décès et pourtant d’autres avant moi l’ont fait et ont obtenu gain de cause. Aujourd’hui, je me lance à mon tour et j’espère sincèrement avoir beaucoup d’aide de cette Algérie où ont vécu la plupart de mes ancêtres, grands-parents, arrières grands-parents et arrières arrières grands-parents, le reste de mon ascendance vient d’Espagne, de la province d’Alicante, d’Albatera, d’Orihuela, de Murcia, de Ben Ferri, tous viennent de là bas.

Je reviendrais plus tard sur cet article je n’ai pas encore de réponse à ces courriers envoyés, en attente de trésors familiaux.

le 13 février 2008 :
J’ai obtenu la réponse à des demandes d’actes de naissance, de décès et de mariage sur les communes suivantes :

- Perregaux
- Ain Tedeles
- Mostaganem
- Relizane
- Oran, avec l’aide d’une personne vivant à Oran même.

Valérie

MICHELLE

28 décembre, 2006
LA GENEALOGIE | Pas de réponses »

Michelle,

Je ne te remercierais jamais assez je crois pour tous ces trésors que tu nous as dévoilé. Tu nous as permis de faire revivre le passé et quels bons moments de rigolade avons-nous lorsque nous sommes au téléphone, sans cesse interrompu par club internet qui doit nous trouver bien bavardes.

J’avais certes commencé un arbre généalogique il y a maintenant plus d’un an et faute de plus de renseignements, j’avais tout laissé tomber, jusqu’à ce mois d’août 2006 où Eric est revenu et m’a donné comme ça, tout en vrac, des infos capitales. J’ai donc rentré ces infos, pas tout de suite car je n’étais pas motivée à ce moment là mais en cherchant sur les différents sites et en trouvant surtout ce site IREL qui m’a permis d’avancer, qui m’a permis de retrouver des membres de la famille, mais tout cela, je te le dis encore une fois, je n’y serais jamais arrivée sans toi.

J’espère vraiment te voir prochainement car j’aurais tant de choses à te dire, à te demander, mais au téléphone c’est toujours un peu compliqué et puis après on repense à des trucs et à toutes les deux, finalement, on arrive à compléter le puzzle généalogique de la famille.

J’espère que l’année 2007 nous apportera encore beaucoup de renseignements et surtout j’espère beaucoup d’aide venant d’Espagne et d’Algérie, car je vais commencer à écrire d’autres courriers à envoyer en Algérie pour la recherche d’actes concernant notre grand-mère Marie-Dolores Martin.

En attendant, chère Michelle, je suis heureuse après toutes ces années, d’être de nouveau en relation avec toi, malgré cette distance qui nous sépare, je ne vous oublie pas et je serais heureuse de connaître un jour ta petite Julie.

Alors, à bientôt peut être, qui sait ce que nous réserve demain !!!

Bisous de ta cousine.

Valérie.

Famille MARTINEZ et MATEO

17 décembre, 2006
LA GENEALOGIE | Pas de réponses »

1.
Bonsoir,

Quelle immense satisfaction lorsqu’on arrive au bout de ses rêves ! La généalogie, cela m’a toujours passionné, j’avais commencé il y a déjà quelques années mais sur papier, c’est bien plus difficile puis lorsqu’on est ado, on a difficilement accès à la vie d’autrefois car nos aînés ne veulent plus parler du passé ou alors ne nous parlent que de certaines choses. Je n’ai pas eu la chance de connaître mon grand-père paternel, je suis sûre que s’il était encore en vie, il pourrait m’apprendre beaucoup de choses sur la vie d’autrefois. Au travers de ses cartes écrites à ses parents et des quelques photos que nous possédons maintenant grâce à ma cousine Michelle, j’ai l’impression que mon grand-père était très gentil, très reconnaissant envers ses propres parents, et pourtant je ne sais rien de lui par mes oncles, tantes et mon père si ce n’est qu’il n’a pas survécu par rapport à tout un ensemble de choses de la vie : la guerre 14-18, le rapatriement d’Algérie, et je pense surtout à son passé qui d’un seul coup s’est volatilisé, séparé de son frère Manuel, de sa soeur Maria, décédée trop tôt, de ses parents restés au pays, loin de tout cela, quel chagrin a-t-il pu ressentir lui de cette existence menée et de cette existence à venir qui s’annoncait ici en France, terre d’asile et terre d’accueil.

Aujourd’hui, mes recherches avancent. En attendant de nouvelles informations sur la famille Martinez, je poursuis avec la soeur Maria Martinez dont j’ai appris qu’elle était mariée à Juan Plaça le 25 novembre 1913 à Sidi Bel Abbes ; ils ont eu une petite fille, dont je ne connais pas le prénom et lorsque Maria est décédée en 1931, elle était enceinte, mais a-t-elle eu d’autres enfants que cette première petite fille ? Qui peut me renseigner ? Qui pourra encore m’être utile dans cette recherche ? Je vais essayer d’autres sources car tant que je n’aurais pas tout épuisé pour Maria, mes recherches se poursuivront.

Je vais entamer également des recherches sur la famille Martin, qui est donc ma grand-mère paternelle, elle aussi, je ne l’ai pas connue si ce n’est par des photos. J’ai quelques informations pour commencer les recherches pour elle, seulement voilà, il faudra souvent que je me tourne vers l’Algérie pour des demandes d’actes et là, il me faudra exactement des dates précises ainsi que les lieux de naissance, mariage ou décès ; j’espère avoir autant d’informations que possible qui me permettront toujours de remonter le temps.

Cette recherche généalogique, en fait, concerne ma famille, mais quelle famille, elle est grande, puisqu’à chaque enfant, vient des petits enfants et encore d’autres petits enfants, cela est infini, on se multiplie et l’on devient presque une commune quelquefois avec simplement tous les membres de la famille.

J’ai rebaptisé mon arbre généalogique : il s’appelait Martinez, mais je n’ai pas qu’un père, j’ai aussi une mère donc mon arbre s’appelle désormais l’arbre des Martinez et des Matéo.

La famille Matéo est aussi vaste que la famille Martinez, et bientôt je commencerais les recherches également de ce côté là. Quant à ma grand-mère maternelle, j’espère vraiment avoir des informations la concernant, car je ne sais pas grand chose sur son passé, si ce n’est qu’elle a eu une jeunesse plutôt difficile avec des parents décédés lorsqu’elle avait 18 ans. Elle a alors migré en Algérie Française, a connu mon grand-père et ils se sont mariés en 1936, elle avait alors 22 ans. Elle était très jolie sur les photos de son mariage ainsi que mon grand-père, mais la vie leur en a fait voir un peu de toutes les couleurs, mon grand-père parti à la guerre au Liban, ma grand-mère seule avec ses enfants, l’indépendance de l’Algérie, l’arrivée en France, faire face à toute la misère qui les entourait, et je savais que toute cette misère du monde, leur faisait du mal. Mes grands-parents avaient tous les deux un grand coeur, beaucoup d’amour pour leurs enfants, leurs petits enfants et leurs arrières petits enfants. J’ai eu la chance de les connaître tous les deux et donc je peux parler d’eux, de leur gentillesse envers les autres, de l’aide qu’ils apportaient autour d’eux, ils avaient toujours, comme on dit, le coeur sur la main. Aujourd’hui, lorsque je vois dans la rue, des SDF, cela me fait penser à eux, et cela m’attriste aussi comme cela les attristait également. Comme me disait quelquefois ma grand-mère, comment Dieu peut-il permettre cette pauvreté alors que tant d’autres vivent dans la richesse et le luxe, il n’y a pas de juste milieu, la vie est ainsi faite, et chaque jour, il faut se battre pour vivre ou survivre.

A chacun, je dis que la vie est belle, pleine de richesses, de tristesses, de joies, mais il serait vraiment dommage de tout gâcher alors que tant de personnes autour de nous, nous tendent la main, n’hésitez plus et acceptez l’aide d’autrui.

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