NOS PARENTS
Nous n’avons qu’un Père et une Mère biologiques. Après, nous pouvons avoir des parents adoptifs en fonction de ce que nous réserve l’avenir. Un Père et une Mère nous apportent l’amour, la tendresse, la force, la détermination, c’est eux qui nous montrent le chemin à suivre et si l’on s’en écarte, ils ne sont pas fautifs. On ne récolte que ce que l’on sème. Voilà pourquoi, je détaillerais ce sujet en deux parties : ma Maman et mon Papa.
Une Maman : Elle est là pour aimer, pour apprendre, pour nous donner la vie. Elle nous apprend la vie et ses difficultés, le bien et le mal, Elle est toujours là pour nous écouter, Elle aussi a parfois des soucis mais ses enfants sont sa priorité. Une Maman donnerait sa vie pour son enfant. Une Maman, c’est un coeur tellement immense qu’elle donne sans compter tout son amour, sa tendresse, son affection à ses enfants, à ses petits enfants, à ses arrières petits enfants. Une Maman apaise la douleur, le chagrin, la tristesse. Une Maman console son ange, sans compter le temps, car le temps n’a pas d’importance, l’important dans la vie de cette Maman, c’est que ses enfants soient heureux en amour, heureux dans leur vie de tous les jours. Une Maman, c’est infini, elle ne s’arrête jamais et même à bout de force, elle pensera encore et toujours à sa propre chair.
A mon tour, je voudrais te dire tout simplement : MAMAN, JE T’AIME DE TOUT MON COEUR, je t’aime pour m’avoir donné la vie, pour m’avoir permis de devenir ce que je suis, c’est à dire une Maman.
Ainsi va le cycle de la VIE !!!!
Un Papa : c’est bien différent, Il nous donne la force, il nous aide face à l’adversité, il nous encourage dans nos efforts. Pour un Papa, une petite fille, c’est sa princesse ; un petit garçon, c’est sa continuité. Un Papa, on l’aime différemment. Il nous montre aussi le chemin de la vie, les difficultés à venir, Il nous aide à grandir, à devenir indépendant. Il nous pousse vers l’avant. Un Papa aime ses enfants à sa manière. Un Papa est moins démonstratif affectueusement mais à sa manière, il aime son enfant. Il donne ses conseils, et nous montre le chemin : le chemin de la Vie.
Alors pour remercier Ma Maman et toutes les Mamans du monde, je leur dédie cette poésie :
Une Maman
Une Maman, c’est une fleur,
Qui s’épanouit de bonheur,
Qui s’ouvre au lever du jour
Pour nous couvrir d’amour.
Une Maman, c’est un enchantement,
Un coeur qui aime tendrement,
C’est un rayon de soleil,
Qui m’éblouit et m’émerveille
Une Maman, c’est un sourire
Qu’elle donne contre un soupir
C’est un calin
Qui efface le chagrin.
Une Maman, c’est toute une Vie
Une Vie à l’infini
Un trésor de sentiments
Pour nous, ses enfants
A ma Maman, avec tout mon amour et mon affection
Heureux ceux qui sont morts sur leur terre natale
Et dans l’ocre poussière ils reposent là-bas,
Ceux qui n’ont pas connu l’exil et les coups bas,
Ceux qui n’ont pas subi l’imposture fatale.
Heureux ceux qui sont morts pour leur terre natale,
Ceux qui se sont battus jusqu’au bout de leur foi,
Jusqu’au bout de leur rêve et bout de leur voix,
Ceux qui se sont couchés sous l’ultime rafale.
Heureux ceux qui sont morts victimes de la haine,
Qui sont resté debout parmi les reniements,
Ceux qui ont opposé la force du serment
Et gardé dans l’horreur la grâce souveraine.
Heureux ceux qui sont morts en gardant l’espérance
Car ils ont regardé la mort et sans trembler
Lui ont tendu la main quand leurs juges troublés
Sur ordre ont condamné les meilleurs fils de France.
Geneviève de T ernant
Juillet 2005
POUR MA MAMAN
En souvenir de tes jours de colonie de vacances et pour nous, tes 5 enfants, berceuse que tu nous as chanté et que tu continues à chanter pour tes petits enfants.
Je la chante assez régulièrement pour Arnaud et Mathias, lorsque nous sommes en voiture, et si j’oublie de la chanter, Arnaud me dit :
« tu nous chantes la chanson de Mamie Jojo »
Alors pour ne qu’elle ne sombre pas dans l’oubli et pour tous ceux qui visiteront mon blog, peut-être qu’elle vous rappellera vos souvenirs d’enfance !!!
L’ENFANT DE STRASBOURG
La neige tombe aux portes de l’église
Où est assise une enfant de Strasbourg
Elle reste là, malgré le froid, la bise,
Elle reste là, malgré le froid du jour.
Un homme passe, à la fillette donne,
Elle reconnut l’uniforme allemand
Elle refusa l’aumône qu’on lui donne,
A l’officier, elle dit fièrement :
Gardez votre or, je garde ma souffrance,
Soldat prussien, passez votre chemin,
Car je ne suis qu’une enfant de la France,
A l’ennemi, je ne tends pas la main.
Mon père est mort, sur le champ de bataille,
Et je ne sais l’ombre de son cercueil,
Ce que je sais, c’est que votre mitraille,
M’a fait porter cette robe de deuil.
Tout en priant, dans une cathédrale,
Ma mère est là, sous le porche écroulée,
Frappée à mort par l’une de vos balles,
Frappée à mort par l’un de vos boulets.
Vous avez eu l’Alsace et la Lorraine,
Mais malgré tout, nous resterons Français !
Vous avez eu Germanie et la plaine,
Mais mon p’tit cœur, vous ne l’aurez jamais !